Exercice. Représentez chaque énoncé à l’aide d’une expression littérale.
Voici la correction détaillée de chaque partie de l’exercice, avec une explication pas à pas pour chacune d’elles.
Expression littérale :
On peut représenter un multiple de 6 en multipliant 6 par un
entier.
Soit \(n\) un entier, alors un multiple
de 6 s’exprime par
\[
6n.
\]
Explication :
- Un multiple de 6 signifie qu’on multiplie 6 par un nombre entier. -
Ici, \(n\) représente cet entier. - Le
produit \(6 \times n\) donne un nombre
qui est forcément un multiple de 6.
Expression littérale :
Un nombre impair peut s’écrire sous la forme
\[
2n+1,
\]
où \(n\) est un entier.
Explication :
- Tout entier pair s’écrit \(2n\) (car
il divise par 2 exactement). - Pour obtenir un impair, on ajoute 1 à un
nombre pair : \(2n+1\).
Expression littérale :
Soit \(n\) un entier. Les deux entiers
consécutifs sont \(n\) et \(n+1\). Leur moyenne est donnée par
\[
\frac{n+(n+1)}{2}.
\]
Explication :
- La moyenne de deux nombres se calcule en additionnant ces deux nombres
puis en divisant par 2. - Ici, on additionne \(n\) et \(n+1\) puis on divise le résultat par 2.
Expression littérale :
On sait qu’un nombre impair peut se représenter par \(2n+1\). Le nombre impair suivant est
donc
\[
2n+3.
\]
La différence entre ces deux nombres est
\[
(2n+3) - (2n+1).
\]
Explication :
- Le premier impair est \(2n+1\) et le
suivant est \(2n+3\). - En soustrayant
\(2n+1\) de \(2n+3\), on obtient
\[
(2n+3) - (2n+1) = 2.
\] - Ainsi, la différence entre deux nombres impairs
consécutifs est toujours 2.
Expression littérale :
Soient \(x\) et \(y\) deux nombres quelconques. La somme de
leurs cubes s’exprime par
\[
x^3 + y^3.
\]
Explication :
- Le cube d’un nombre est obtenu en multipliant le nombre par lui-même
trois fois. - On calcule donc \(x^3\)
et \(y^3\) puis on additionne ces deux
résultats.
Expression littérale :
Soit \(x\) un nombre. Les deux tiers de
ce nombre se représentent par
\[
\frac{2}{3}x.
\]
Explication :
- Pour trouver les deux tiers d’un nombre, on multiplie ce nombre par
\(\frac{2}{3}\).
Expression littérale :
Soit \(x\) un nombre. La moitié de ce
nombre s’écrit
\[
\frac{x}{2},
\]
et son carré est
\[
\left(\frac{x}{2}\right)^2.
\]
Explication :
- D’abord, on divise \(x\) par 2 pour
obtenir la moitié. - Ensuite, on élève ce résultat au carré en écrivant
\(\left(\frac{x}{2}\right)^2\).
Expression littérale :
Un nombre impair s’exprime sous la forme \(2n+1\) (où \(n\) est un entier). Son cube s’obtient en
élevant cette expression à la puissance 3 :
\[
(2n+1)^3.
\]
Explication :
- On commence par représenter un nombre impair par \(2n+1\). - Puis, on calcule son cube en
élevant \(2n+1\) à la puissance 3.
Expression littérale :
Soit \(x\) un nombre. D’abord, on
calcule “un nombre diminué du tiers de ce nombre” :
\[
x - \frac{x}{3}.
\]
Ensuite, on multiplie ce résultat par 4 pour obtenir le quadruple
:
\[
4\left(x - \frac{x}{3}\right).
\]
Explication :
- On soustrait \(\frac{x}{3}\) de \(x\) pour obtenir la différence. - Le
quadruple de cette différence se trouve en multipliant par 4.
Expression littérale :
Soit \(x\) un nombre. Le tiers de \(x\) est \(\frac{1}{3}x\) et les deux cinquièmes de
\(x\) est \(\frac{2}{5}x\). Leur somme s’exprime
par
\[
\frac{1}{3}x + \frac{2}{5}x.
\]
Explication :
- On trouve la première partie en multipliant \(x\) par \(\frac{1}{3}\). - La deuxième partie se
trouve en multipliant \(x\) par \(\frac{2}{5}\). - On additionne ensuite ces
deux expressions pour obtenir la somme.
Expression littérale :
Soit \(L\) la longueur, \(l\) la largeur, et \(h\) la hauteur du prisme. On sait que le
volume \(V\) d’un prisme rectangulaire
se calcule par le produit de ces trois dimensions :
\[
V = L \times l \times h.
\]
Explication :
- Le volume d’un prisme rectangulaire est obtenu en multipliant sa
longueur, sa largeur et sa hauteur. - Cette formule permet de calculer
le volume indépendamment des valeurs numériques.
Ces représentations littérales permettent d’exprimer les situations décrites à l’aide d’expressions algébriques. Chacune utilise une ou plusieurs variables pour représenter les nombres concernés, rendant ainsi les expressions générales et applicables à toutes les situations correspondant aux énoncés.